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Coronavirus, ou comment s’en débarrasser ?

lundi 1er juin 2020 , par Christian Portal


Si je pose cette question en paraphrasant le titre de la pièce d’Eugène Ionesco « Amédée, ou comment s’en débarrasser ? », ce n’est pas que j’ai une réponse à cette question, mais plutôt que je m’interroge sur la façon dont le monde va se sortir du piège dans le lequel il s’est enfermé.

Il ne s’agit évidemment pas de se débarrasser du virus mais de sortir du guêpier dans lequel le monde a été placé par des modes de pensée totalement déconnectés des réalités biologiques, sanitaires ou sociales. Les virus n’ont pas à être éliminés car ils font partie intégrante du monde vivant qui suppose une biodiversité dynamique. Ce dynamisme n’est pas ici utilisé pour montrer la vivacité mais pour illustrer la mouvance et l’impermanence. Les microbes, terme générique pour désigner les microorganismes qui nous habitent et nous environnent et sans qui aucune vie ne serait possible, ne peuvent et ne doivent sous aucun prétexte être détruits. Au pire, peut-on s’interroger sur la nécessité de les déloger d’un espace où ils seraient indésirables. Et encore, faire le vide suppose soit de le combler volontairement pour s’assurer de ce qui doit y être ou courir le risque d’un remplissage incontrôlé.

Le problème des infections pose une question qui, à mon sens, n’est pas réglée : « la maladie est-elle le produit de l’infection ? », ou bien, « l’infection est-elle le produit de la maladie ? ». C’est évidemment une question fondamentale qui, à ce jour, n’est pas tranchée autrement que sur un plan idéologique. Pourtant, cela déterminerait des modes de traitement radicalement différents. Même si l’usage des antibiotiques a pu rendre de nombreux services et, sans doute, sauvé de nombreuses vies, notre système médical se heurte au phénomène de résistances aux antibiotiques [1] et qu’il est totalement impuissant face aux virus. On voit notamment qu’il n’existe aucun traitement sérieux pour le rhume ou la grippe et que les seules recommandations sont le repos et la prise de paracétamol.

Par ailleurs, la stratégie de cette gamme de médicaments pose deux problèmes : En premier lieu, faire baisser la fièvre, même si c’est confortable pour le patient … et le médecin, c’est oublier que la fièvre joue un rôle essentiel dans la résolution des infections. Deuxièmement, cette molécule est devenue un incontournable et notamment dans l’automédication. Or, il s’agit d’un produit dangereux dont la toxicité hépatique est rappelée régulièrement depuis, hélas, seulement peu de temps. Il est responsable de 200 morts par an et de 96 000 hospitalisations [2] . De plus en présence de chlore, elle se décompose en deux métabolites qui sont toxiques pour le génome des cellules. À ce sujet, rappelons que les consignes, suite au plan Vigipirate, ont été d’augmenter la dose de chlore dans l’eau distribuée, afin d’éviter les attaques bactériologiques. Ces consignes ont été maintenues avec le risque sanitaire lié au COVID19.

Devant cette absence de traitement face aux maladies virales banales, il n’y avait que la prise d’antibiotiques pour se garantir du risque de surinfection bactérienne. La campagne contre l’antibiothérapie systématique a abouti, faute d’alternative, à une recrudescence de pneumonies et de maladies respiratoires graves.

Dans ce premier constat, je vois plusieurs problèmes sérieux :

 Bien que la grippe ou le rhume soient des maladies banales qui se soignent souvent spontanément, elles donnent lieu à de nombreuses hospitalisations, de nombreux arrêts de travail et qu’elles ont un coût considérable pour la société.
 On a vu qu’il n’existait pas de traitement conventionnel efficace et, malgré cela, les autorités médicales continuent de lutter contre toutes les alternatives médicales, homéopathie, aromathérapie essentiellement.
 De nombreux rhumes et syndromes grippaux sont dus à des coronavirus. Or les médias et même les médecins ne parlent que DU coronavirus comme s’il n’en existait qu’un. Même l’INSERM crée la confusion dans l’entête de son article « Coronavirus et Covid-19, Du simple rhume au syndrome respiratoire aigu sévère
 Les coronavirus constituent une famille de virus dont certains peuvent infecter les humains, entraînant le plus souvent des symptômes bénins de type rhume. Néanmoins, trois épidémies mortelles sont déjà survenues au 21e siècle, dont celle en cours. Elles impliquent des coronavirus émergents, hébergés par des animaux et soudain transmis à l’homme : les SRAS-CoV et le MERS-CoV.
 ». Certes, la grippe n’est pas due à un coronavirus mais elle provoque, chaque année en France, entre 10 000 et 20 000 décès. La grippe de Hongkong a même fait 30 000 morts en 1969 sur une population de 50 millions. Ce qui représente un pourcentage largement supérieur à celui de la pandémie de cette année.

Comment expliquer cette hystérie collective pour une maladie, certes sérieuse ; mais, pour l’instant, moins grave que celle de 1969 ? Le dernier livre de Bernard-Henry Lévy « Ce virus qui rend fou » donne des pistes de réflexion. Il s’interroge notamment sur notre soumission à l’autorité et à notre incroyable docilité.

Pourtant, si nous faisions appel à notre bon sens plutôt qu’aux injonctions pseudoscientifiques, asservies par le « philanthrocapitalisme » tel que le définit Vandana Shiva [3] , nous comprendrions ce que nous devons faire ou pas. Il est sans doute plus nécessaire de rendre visite à des parents en fin de vie pour cause de vieillesse ou de maladie pour leur apporter réconfort et soutien plutôt que de les laisser glisser vers la mort par abandon affectif.

Une autre question essentielle que je vois est la prise de pouvoir par les experts qui arguent de la science pour affirmer une vérité unique et dicter des décisions aux politiques sans le moindre débat démocratique. Peut-on, de toute façon, compter sur l’indépendance intellectuelle des politiques ? Le cas Mélenchon est exemplaire ! Lui qui est si prompt à débusquer les pièges sémantiques ou économiques perd tout sens critique lorsqu’il est question de médecine, cette «  vache sacrée » de notre société occidentale, jusqu’à en affirmer qu’une « deuxième vague » était inéluctable. Renforcer la peur sans la moindre preuve est indigne d’un homme politique. Il faut aussi reconnaître que le principe de précaution est passé par là et que les politiques n’osent plus rien faire en dehors des avis de ces experts corrompus par l’argent ou , plus simplement, par la voix de « l’imposition majoritaire » [4]. Ce principe de précaution, on le notera au passage, ne s’applique que dans certains cas et surtout pas pour le nucléaire, la 5G ou les pesticides.

Cette prise de pouvoir s’est bien sûr exercée en médecine, ce qui fait dire à chacun, médecin ou simple citoyen, que la médecine est une science et les médecins des scientifiques. Ce n’est évidemment pas vrai ! Ils utilisent des données scientifiques, avec toutes les limites exprimées par Philippe Guillemant [5]
mais le diagnostic et les soins qui s’en suivent relèvent d’un processus intuitif plus proche de l’art que de la science. Malheureusement, la médecine est prise en otage par la caste des experts et c’est dorénavant l’EBM (evidence-based-medecine ou médecine basée sur les preuves) qui pilote les choix thérapeutiques des médecins. Mais peut-on encore parler de choix quand les traitements sont construits par les laboratoires pharmaceutiques et imposés par les protocoles thérapeutiques définis par la HAS (Haute Autorité de Santé) et par l’OMS ? Tout médecin qui voudrait s’en écarter encoure des mesures disciplinaires. C’est dans ce contexte qu’on a vu la polémique sur la Chloroquine. Il faut d’abord rappeler quelques faits qui n’auraient jamais du échapper aux journalistes et encore moins aux médecins ;

 La chloroquine et l’hydrochloroquine sont des médicaments classés essentiels dans la liste de l’OMS [6]. Ils ont les indications suivantes : rhumatologie, actions antivirale, notamment contre les coronavirus, et antipaludéenne.
 Ces médicaments sont utilisés depuis de nombreuses années sans signaler de contre-indications majeures.
 Pourtant, ce médicament a fait l’objet de plusieurs mesures de restriction d’usage ; dès novembre 2019 une demande a été formulée puis la vente libre interdite le 13 janvier 2020 car il est classé comme dangereux [7] et, finalement, subit sa dernière réglementation le 22 mai 2020, réservant son usage pour les formes graves du COVID19.

Un dernier point aurait du alerter notre esprit critique. L’acharnement à démontrer l’inefficacité et finalement la dangerosité du traitement du docteur Raoult. Dans le même temps, la faiblesse de résultats des autres essais thérapeutiques a été passée sous silence dans l’indifférence générale. Enfin, cerise sur le gâteau, la dernière enquête présentée comme une étude, est venue enfoncer le dernier clou dans le cercueil du traitement du docteur Raoult. Étude très vite relayée par France-Inter [8]. Pourtant, on devrait s’interroger sérieusement sur cette soi-disant étude qui n’est en fait qu’une collecte rétrospective sur la base de dossiers médicaux. 96 000 dossiers étudiés en moins de deux mois par 4 personnes est juste impossible. Par ailleurs on sait rien ni sur les hôpitaux ni sur les pays concernés par cette enquête. On peut également se demander comment ont été obtenus des dossiers, en principe, confidentiels.

Dernier point concernant la contagion. Cette maladie est supposée être très contagieuse, ce qui a justifié les mesures de confinement et les fameux gestes barrière. Or, alors qu’on espérait 65% de contamination pour espérer une immunité de groupe, on en est à peine à 5%. Ce qui a fait réviser opportunément cette immunité à 15%. Ceci révèle immédiatement une incohérence. Comment obtenir une immunité de groupe en maintenant un confinement et des gestes barrière supposés empêcher les contaminations. Pourquoi confiner si la contamination est nécessaire ? La réponse est simple : Dans l’incapacité de soigner réellement les malades précocement, on est contraint d’attendre que leur état s’aggrave et de les placer en réanimation. Là, on connait le résultat : un mort sur deux. Cela a eu plusieurs conséquences. On a rapidement manqué de structures de réanimation, chambres, lits, respirateurs et surtout personnels. Ces malades ont été regroupés dans des espaces restreints, un étage dans un hôpital, dans lequel ont été concentrés, dans l’espace et le temps, les moyens mais aussi les souffrances collectives et surtout les décès.

Le dernier problème est à la fois médical et politique. En effet, quand pour résoudre un problème, on applique une mesure qui s’avère inefficace, on évite d’insister en allant encore plus loin dans l’erreur. Chaque fois qu’on bute sur ce genre de difficulté, il faut d’abord se demander si le diagnostic était juste et si le traitement était approprié. C’est cette remise en cause et non l’entêtement qui va résoudre ce problème. En médecine, devant un obstacle, c’est rarement le changement de stratégie qui opère mais le renforcement du traitement par augmentation des doses ou des actions. C’est notamment la raison pour laquelle, après de très nombreux plans cancer, à travers le monde, on en est toujours au même point [9]. En politique, c’est le réacteur Superphénix, le barrage de Sivens ou l’aéroport de Notre-Dame des Landes, pour les exemples les plus frappants. Dernièrement avec le confinement imposé, chacun imagine une deuxième vague qui n’a aucun sens si le confinement était la solution. Et là ; au lieu de considérer l’erreur et de changer, on s’entête pour envisager une deuxième phase de confinement. De plus, les mesures réglementaires et quelquefois vexatoires comme l’interdiction de rouvrir les parcs et jardins alors que les gens s’accumulent devant les grilles et tous les espaces qu’ils peuvent investir, auraient du réveiller notre conscience citoyenne. Comment justifier l’interdiction de coucher sur une plage ? Etc.

Enfin, l’usage du mensonge comme méthode de gouvernement aurait, là aussi, nous apparaître comme insupportable ; l’épisode des masques est là pour nous le rappeler. Dans notre vie personnelle quand nous confrontés à un mensonge, c’est notre confiance qui est durablement ébranlée.

Pour revenir à la question à la question initiale : « Comment s’en débarrasser ? », je ne vois qu’un mensonge de plus à construire. En effet, tous les jours, on nous rappelle que le virus circule encore avec pour preuve des tests sérologiques dont on sait qu’ils ne sont pas spécifiques. Cela veut dire que l’on va trouver toujours des cas positifs et que, tant qu’on en trouve, il sera très difficile face à la peur de la population, de conclure cet épisode. Le gouvernement n’aura pas d’autres choix que de mentir en annonçant la fin de cette pandémie ou, sinon, à quel moment revivront nous normalement en s’embrassant, se serrant la main, se collant dans des files d’attente, dans discothèques ou des salles de spectacles. Il y aura, bien sûr, ce vaccin qu’on nous promet et qu’on voudra nous imposer, ce traçage de la population et toujours un peu plus de privation de liberté. On aura créé une telle psychose que chacun renoncera à son libre-arbitre avec cet argument merveilleux : « ça nous rassure ». Or c’est un sentiment totalement factice. Déjà pendant le plan Vigipirate, quand on me faisait ouvrir mon sac, j’ai toujours eu un deux couteaux qui n’ont jamais été contrôlés. N’importe qui pouvait avoir une bombe sans qu’elle soit détectée. De la même façon, il suffit d’observer combien les gestes barrière sont ridiculement inefficaces. Nous touchons en permanence des objets qui sont possiblement contaminés, monnaie, terminal de paiement, mobilier urbain, etc.

Il ne reste qu’une seule chose à faire : réfléchir par soi-même et résister de toutes ses forces à la dictature de la bêtise et au consentement volontaire.

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