Moins d’un an après le décès de Claire Séverac, le 26 décembre 2016, sa fille et les éditions Elie & Mado, font paraître le livre qu’elle avait écrit juste avant de mourir.
Comme à chaque fois, il s’agit d’un ouvrage pugnace et documenté qui nous fait regretter la disparition de tant d’amies qui étaient mes compagnes de lutte, Corinne Gouget, Sylvie Simon et Claire.
Extrait de la 4ème de couverture
« Nous avons fait aveuglément confiance à travers le temps aux industries agroalimentaires dans l’idée qu’ils prendraient soin de notre santé.
Hippocrate enseignait déjà dans les années 300 av. JC que : « nous sommes ce que nous mangeons », ce qui laisse rêveur devant les chiffres des maladies du XXI e siècle.
À ce jour, mourons-nous de notre belle mort ou en grande partie de ce que nous ingérons ? De la graine à l’assiette, à combien de produits chimiques et de manipulation génétique les cultures sont-elles sujettes ? Alors sommes-nous obligés de manger cette soupe chimique sciemment préparée par le cartel agroalimentaire pour nous diriger ensuite dans celui des laboratoires pharmaceutiques ?
Claire attire notre attention sur ce qu’il nous faut éviter et ce qu’il est préférable de manger. Elle ne voulait pas croire que nos capacités à nous questionner soient à jamais détruites par cette chimie. Le changement des habitudes est à la portée de tous.
Prenons du recul, déterrerons la vérité pour l’amour de nos enfants et de nos proches. Un esprit sain dans un corps sain n’a jamais été aussi vrai. »