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Pour une éducation physique non sportive
samedi
3 avril 2010
, par
Christian Portal
Pour ceux qui l’ignore encore, je suis professeur d’éducation physique depuis 35 ans et j’observe, dans mon métier, les mêmes principes réductionnistes que ceux qui sont à l’œuvre en médecine et en agriculture. Cela m’a conduit, dans un premier temps, à proposer une approche écologiste afin de promouvoir une autre façon de comprendre la vie et, ainsi, une autre façon de concevoir le soin.
La démarche écologiste ayant un caractère universel, elle peut également s’appliquer à la compréhension d’une démarche éducative. A travers l’exemple de l’éducation physique, je vous présente, assez succinctement, à travers une vision historique, une étude mettant en évidence la subtilité de l’action éducative et les motifs pour lesquels le sport ne peut, en aucun cas, répondre aux enjeux éducatifs.
Au fil du temps, l’éducation physique s’est tournée essentiellement sur l’activité sportive. L’institution, et nombre de professeurs avec elle, a tenté de justifier cette démarche en considérant que les objectifs éducatifs seraient atteints par l’enseignement d’activités sportives, pratiquées avec une « autre » éthique. Ce que serait cette autre démarche n’a jamais été bien formalisé, si ce n’est que l’objectif ne devait jamais être celui habituellement dédié à l’activité sportive, c’est-à-dire celui d’une valorisation de l’ego pour l’athlète, l’équipe, l’entraîneur ou les parents. Il s’est ainsi construit une « légende » qui a permis de croire que le professeur, sur la base de sa simple compétence, pourrait, en faisant pratiquer le sport, rester un éducateur, et ceci, quels que soient les objectifs qu’on lui aurait fixés.
L’éducation physique a toujours été soumise à une mission utilitariste, tantôt hygiéniste, tantôt militaire et plus récemment sportive. Après les années 70, il n’était plus possible de défendre une utilité militaire et, même la démarche sportive prônée par les marxistes au sein de cette profession devenait moins justifiable. Il faut dire que l’idéal d’une merveilleuse jeunesse unie autour des résultats sportifs avait été entaché par les forts soupçons de dopage. De cette époque, était née une démarche encore floue mais résolument tournée vers l’idée d’un épanouissement personnel. On pensait, à l’époque, que cet épanouissement ne pouvait que profiter à la scolarité de l’enfant qui serait plus harmonieuse et finalement au citoyen qui deviendrait plus autonome et responsable.
Dès la fin des années 80, cette période a pris fin par une reprise en main qui est venue redonner une nouvelle légitimité aux pratiques sportives au sein de l’école. Celle-ci a pris la forme de l’accès à la culture. Les pratiques sportives étant une part de la culture commune, il était nécessaire d’apprendre ces techniques aux enfants afin de les faire accéder à un espace culturel commun. Ainsi, non seulement on justifiait la pratique des activités sportives mais on légitimait du même coup l’apprentissage de compétences sportives et l’évaluation de celles-ci. L’évaluation, ce joli mot pour dire qu’on va disposer d’un outil rigoureux pour noter et classer les élèves.
Ce dernier point est particulièrement renforcé par le zèle des inspecteurs qui ont normalisé et formalisé les constats de compétences et les outils de notation. Ceci s’est également accompagné des outils informatiques qui ont renforcé le contrôle des enseignants et de leurs pratiques. Ce contrôle peut paraître légitime mais, en fait, il fleure bon cette culture du contrôle et de la normalisation qui sont les piliers communs de cette nouvelle société, soutenue par le néolibéralisme et qui favorise le nouvel ordre mondial annoncé à toutes les populations.
Si on se penche quelques instants sur cette idée de compétences, elle peut sembler normale dans un contexte d’acquisition technique. Par exemple, la maîtrise de calculs de plus en plus complexes trouve sa légitimité tant d’un point de vue scolaire, que social ou professionnel. Il peut en être de même pour tout domaine scolaire. Néanmoins, même pour les mathématiques, on peut osciller entre une volonté d’acquisitions de techniques et une démarche de formation à « l’esprit » des mathématiques. Cette deuxième option pourrait permettre une meilleure compréhension générale, également, parce que l’élève ne serait pas soumis en permanence à la réalisation des objectifs, à chaque fois sanctionnée par un jugement et une note.
On peut raisonner ainsi pour chacune des matières enseignées et, de la même façon, est-il plus utile d’apprendre l’anglais ou, au contraire, de bien intégrer les mécanismes « universels » d’acquisition des langues étrangères ? On constate, en particulier, pour les linguistes qui maîtrisent plusieurs dizaines de langages qu’il ne s’agit pas, à chaque fois, pour chaque nouvelle langue, d’un nouvel apprentissage.
En éducation physique, la situation est encore plus grotesque car rien ne peut justifier l’institution d’une telle dépense avec le financement de tant de professeurs et de matériels pour apprendre des techniques de basketball, de rugby ou d’escalade. Ce à quoi les professeurs répondent que c’est pour améliorer des qualités utiles aux citoyens comme les capacités physiologiques cardio-pulmonaires, la coordination motrice ou la valeur des relations sociales. Pourtant, si ce sont ces aspects que nous entendons valoriser, alors ce sont eux qu’il faut enseigner et, éventuellement, évaluer. Malheureusement, la réalité est, par essence, infiniment complexe et vouloir la réduire à quelques pratiques et savoir-faire est beaucoup plus pratique mais certainement assez inutile. L’évaluation n’est donc pas le moyen de vérifier ce qu’on a enseigné mais bien de seulement noter et classer les élèves et, par extension, tous les sujets, qu’ils soient des salariés ou des institutions. Pour mettre en œuvre cette évaluation, il faut impérativement construire des pratiques d’enseignement réductrices, faciles à évaluer, même si elles sont sans intérêt, voire même contreproductives, d’un point de vue éducatif.
Si, comme je le pense, il existe des méthodes pour favoriser la concentration, la détente propice aux apprentissages et l’accès à une conscience plus fine permettant, par exemple, d’ajuster ses conduites de façon plus adaptée à l’environnement spatial et humain, celles-ci ne peuvent s’exprimer que dans un contexte apaisé parfaitement incompatible avec le jugement d’autrui. Je ne prendrai qu’un exemple : la relaxation.
Il est inconcevable d’imposer cet « exercice »de façon autoritaire ou comme une performance sanctionnée par une note. On croit pouvoir mettre une note dès lors qu’un exercice, pour sa réussite, fait d’abord appel au travail et à la docilité scolaire. On croit pouvoir valoriser ces deux aspects qui semblent relever de la volonté. On élude ainsi les processus mentaux internes qui favorisent ou constituent les éléments de la réussite de même qu’on évite de considérer les qualités intellectuelles plus ou moins spontanées. Sur ces points particuliers, aucun travail spécifique n’est proposé qui pourrait remettre les élèves à égalité de chances et qui, surtout, offrirait une véritable alternative au seul travail aveugle. Cet esprit besogneux reste le point essentiel, non de la réussite scolaire mais de la gratification scolaire. Ainsi lors d’exercices de relaxation, l’enseignant est peu en mesure de savoir ce qui se passe chez l’élève et même s’il le sait, il ne peut pas le condamner si celui-ci n’est pas encore en mesure de calmer ses angoisses ou d’apaiser sa nervosité.
Il est un autre domaine qui peut rendre compte de cette difficulté à fixer des compétences comme objectifs et ensuite à vouloir les évaluer. C’est celui des techniques subtiles. Cela concerne les métiers d’acteur ou de musicien par exemple. Pour l’un comme pour l’autre, il faut maîtriser des techniques mais, au-delà, il faut atteindre des états que certains qualifient de conscience modifiée, dans lesquels on oublie totalement ce qu’on a appris par un abandon des processus mentaux, sans pour autant perdre une conscience au monde et à soi, au contraire parfaitement aiguisée. Cela donne ces états où le sujet est comme en extase. Bien sûr, cela constitue l’aboutissement de tout artiste. Au moment où il l’atteint, peut-il dire qu’enfin il sait ? Non, et d’autant moins que cet état ne se reproduira plus avant longtemps ou, en tout cas, pas sous cette forme. Ce ne sont que des moments de grâce qui viennent ponctuer un long apprentissage qui différencie le technicien de l’artiste. Sans aller jusqu’à envisager une société d’artistes et une éducation tournée exclusivement vers ce type de projet, il me semble qu’on ne doit pas se priver de l’accès aux subtilités sensitives et perceptives, véritables portes d’accès vers une conscience élargie.
Une telle vision de la conscience n’est pas un luxe réservé à quelques initiés, c’est l’espoir d’une véritable prise en charge de sa santé et de ses conduites motrices et sociales. Cela ne génère pas forcément des sujets facilement manipulables comme les pouvoirs, quels qu’ils soient, le recherchent mais c’est, pour ma part, l’idéal que je me suis fixé. Ce serait l’honneur de cette profession que d’y aspirer. Dans la mesure où tout pouvoir porte au despotisme, il appartient aux acteurs de l’action de l’État de lutter contre cette exploitation de l’obéissance du fonctionnaire afin de garantir les libertés.
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Messages
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7 avril 2010 15:54, par Gijom
Une petite réaction, non pas sur l’intégralité de cet article, auquel j’adhère globalement, mais juste par rapport au passage précis concernant l’apprentissage des langues, auquel j’adhère tout particulèrement !
Ne s’agit-il pas de ce qu’on appelle la propédeutique : qualité de ce qui facilite l’apprentissage ?
Concernant l’apprentissage des langues, on constate aujourd’hui une prédominance de l’anglais qui, moi, m’inquiète beaucoup. Cette langue d’apparence facile, mais qui ne l’est pas du tout sous bien des aspects, est considérée comme incontournable pour la communication internationale. Or, non seulement, elle n’a pas les qualités requises pour jouer ce rôle, mais elle génère beaucoup d’inéquité et de discrimination dans les débats internationaux, sur le marché de l’emploi, etc. Ne pas maîtriser l’anglais aujourd’hui est un motif d’exclusion et il est convenu que c’est un signe de fermeture volontaire ou involontaire de la part de celui ou celle qui ne développe pas cette compétence. Pourtant, nous sommes tous inégaux face à cet apprentissage, notamment du fait du contexte linguistique dans lequel on prononce ses premiers mots. Plus la course contient d’obstacles, plus il y a de distance entre les coureurs à l’arrivée. Et effectivement, il y a actuellement un acharnement à l’apprentissage de l’anglais, invitant les personnes non anglophones natives à concentrer tous leurs efforts là-dessus, écartant la vérité la plus élémentaire selon laquelle, plutôt que de s’acharner sur une langue, il vaut mieux développer son "muscle de l’apprentissage des langues" en en étudiant plusieurs.
Un merveilleux outil existe pour cela, que l’Éducation nationale rejette obstinément malgré les nombreuses études montrant sa pertinence. Il s’agit de l’espéranto. Cette langue est conçue de manière à respecter le processus naturel de formation du langage. Elle sollicite un usage très équilibré des cerveaux droits et gauches. Elle évacue les complications du genre "exceptions", "tableau de conjugaison", "déclinaisons", etc. Elle peut se maîtriser en un an avec un très grand plaisir dû à sa facilité et son adaptation à notre pensée. L’espéranto offre ainsi la possibilité de séjours linguistiques enfin réellement ouverts à l’international et non fermés sur l’anglophonie, donc la possibilité de choisir les langues que l’on souhaitera approfondir par la suite.
L’espéranto est-il une utopie ? Oui, au sens noble du terme : c’est un projet qui soulagera considérablement l’humanité des nombreux efforts et investissements actuellement fournis pour traiter le problème du multilinguisme avec des coûts exorbitants, des résultats médiocres et des "échecs scolaires" traumatisants.
Je vous invite à lire "Le défi des Langues, du gâchis au bon sens", de Claude Piron, éd. L’Harmattan.
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10 avril 2010 18:45, par Ambi
Bravo de parler de l’activité physique non sportive dans le cadre de la médecine écologique.
Ayant fait la formation de PDG (prof de gym) en Allemagne, j’ajoute un volet "santé" à toute activité physique - et surtout à celle qui n’est pas sportive mais intégrée dans la vie de tous les jours. Notre prof de Médecine sportive nous a donné deux exemples : dans l’Allemagne coupée en deux par le rideau de fer à la fin des années ’60, il y avait trois fois plus de maladies cardio-vasculaires en Allemagne Fédérale qu’en Allemagne de l’Est. Le même rapport se trouve entre les conducteurs et les contrôleurs des bus londoniens à deux étages. Dans les deux cas, ce n’est pas le sport qui différencie les deux groupe, mais le niveau d’activité physique quotidienne.
Il y a un minimum vital concernant la nourriture - qui est en même temps optimal pour la vitalité et l’espérance de vie, et en général, nous vivons largement au-dessus de ce minimum vital ; il y a également un minimum vital d’activité physique quotidienne, et en général, nous vivons largement en-dessous de ce minimum. Nous vivons donc en quelque sorte en-dessous de seuil de la pauvreté.
Faire passer ce message aux jeunes - tant qu’il cherchent encore leurs habitudes vitales - est un objectif primordial pour tout pédagogue.
Les points que tu évoques visent largement ce but.
Sur cette page, je donne "9 raisons pour bouger plus" :
http://www.jeune-et-randonnee.com/bougerplus.htm
Gisbert Bölling
Nous avons passé un moment ensembles au sein de la commission santé ...
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8 juin 2010 13:47, par Greg
Depuis sa parution, ce nouvel opus de Christian Portal me fait l’effet d’un parasite entré par inadvertance dans mon nez : cela me fait éternuer ! Je vais donc prendre le temps de me moucher…
Pour commencer, je trouve le postulat simpliste et caricatural.
Au fil du temps, l’éducation physique s’est tournée essentiellement sur l’activité sportive. L’institution, et nombre de professeurs avec elle, a tenté de justifier cette démarche en considérant que les objectifs éducatifs seraient atteints par l’enseignement d’activités sportives, pratiquées avec une « autre » éthique. Ce que serait cette autre démarche n’a jamais été bien formalisé, si ce n’est que l’objectif ne devait jamais être celui habituellement dédié à l’activité sportive, c’est-à-dire celui d’une valorisation de l’ego pour l’athlète, l’équipe, l’entraîneur ou les parents.
Ainsi le sport n’est qu’un duel physique qui ne laisse de place qu’au vainqueur : voilà une vision bien réductrice. Dans cette optique, le prof d’EPS chronomètre, classe, hiérarchise, récompense le vainqueur et stigmatise le perdant. Heureusement, le sport dépasse largement le cadre minimaliste que veut bien lui prêter notre cher Christian.
Le sport peut être appréhendé sous un angle autonome, indépendant de toute récupération pédagogique. Il est intrinsèquement porteur d’un « éthos », une manière d’être et de penser consubstantielle au sport, et d’un « savoir », un ensemble de gestes à la fois transmissibles et contextualisés. Faire du sport, c’est apprendre ces gestes pour évoluer dans un système de règles communes pré-établies. Enseigner le sport, c’est donc aider un sportif à évoluer dans ce système en s’y adaptant. Comme dans une société au sens large. (Crozier et Friedberg, 1977).
1) Le sport comme un répertoire de gestes techniques vecteur d’apprentissage moteur
Selon une conception écologique de l’apprentissage l’action est indissociable du contexte dans lequel elle émerge, on parle du couplage perception-action (Berstein, 1967). Apprendre c’est donc rechercher une réponse adéquate au problème posé par l’environnement. Dans cette optique, la pratique sportive, en contrariant l’environnement, oblige le pratiquant à s’adapter. Le geste technique prend alors du sens puisqu’il répond à une situation précise. Par exemple, un amorti au badminton est une réponse adaptée lorsque l’adversaire est au fond du terrain, puisque l’objectif est de faire toucher le volant sur le sol pour marquer le point. Il ne s’agit pas d’apprendre le geste pour le geste, mais bien de l’apprendre pour sa pertinence dans la situation donnée.
Voilà pourquoi le financement de tant de professeurs et de matériels pour apprendre des techniques de basket-ball, de rugby ou d’escalade se justifie, il apprend à ajuster ses conduites de façon plus adaptée à l’environnement spatial et humain . Le sport, par sa nature propre, est donc vecteur d’apprentissage moteur.
2) Le sport comme système de règles vecteur d’apprentissage social
Au delà du champ de possibles qu’il offre en terme d’apprentissage moteur, le sport est un vecteur pertinent d’apprentissage social, puisqu’il régule les relations humaines grâce aux règles communes du jeu. Accepter un cadre social, y trouver sa place, lui donner du sens…voilà un challenge à relever quand on enseigne le sport. Plutôt que d’aseptiser le milieu, en proposant un contexte apaisé de toute tension sociale, le sport plonge chaque acteur dans un système complexe, qui nécessite une adaptation. Pour s’inscrire dans le jeu sportif, l’acteur doit transformer sa conduite. Cette transformation ne va pas de soi évidemment. Chaque élève tente de trouver sa place sociale, son rôle, tente de comprendre que l’absence de règle empêche le jeu, et comprend que réguler est incontournable pour vivre en société. En cela, le sport est un levier pertinent. Par exemple, au basket, si la règle du non contact est absente, le jeu se transforme vite en empoignade générale, et le jeu disparaît. En euphémisant la violence (Elias et Duning, 94), le sport permet l’apprentissage. Les règles communes du sport régulent les relations, répartissent les rôles, gèrent les marges de liberté de chacun au sein du système sportif.
Pour résumer et conclure, je pense que le sport est pertinent pour éduquer physiquement puisqu’il place l’acteur dans un environnement contraint et librement choisit, dans lequel il tente de se bonifier en puisant dans un répertoire de gestes et d’attitudes transmises de génération en génération. Apprendre c’est s’adapter et le sport permet d’y parvenir.
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