Son précédent livre "Si, ça se peut" n’est plus disponible et est remplacé par "Abus" qui en est une version revue et complétée.
Un témoignage profond sur la toxicité du mercure qui provient des amalgames dentaires et des vaccins, complété d’une étude documentée sur le processus d’intoxication chimique, validée par deux scientifiques du plus haut niveau et accessible à tous les niveaux socioculturels.

Cela fait plus d’un siècle que des scientifiques demandent poliment au corps médical d’arrêter de se tromper, sans résultat. Ils l’ont fait de tout leur cœur, dans leur propre langage. Mais ils ne sont pas entendus. Et la souffrance des enfants perd patience.
C’est pour tenter autre chose, que j’ai écrit ce livre destiné au grand public. En première partie, il vous délivre le contenu de mon journal intime, qui foisonnait de détails sur les souffrances que l’intoxication chimique m’infligeait en permanence, que je sois dans les bras d’un homme ou sur mon lieu de travail. J’explique ensuite comment j’ai décelé cette intoxication en moi et fait le lien entre elle et mes symptômes. En seconde partie, je décris les méthodes de soin qui m’ont été proposées et qui m’ont sauvé la vie alors que j’étais aux portes de la mort, après vingt six ans de maladie inexpliquée.
Mon témoignage est complété par une analyse documentée du processus d’intoxication chimique, validée par deux scientifiques du plus haut niveau, qui m’a conduite à la conclusion que la plupart des maladies dégénératives en découlaient. La médecine d’État agit donc à contresens, en s’appuyant exclusivement sur la consommation de produits chimiques, via les médicaments, vaccins et amalgames dentaires. En conclusion, je m’appuie sur cette démonstration pour inviter la population à renoncer à des politiques de santé qui n’en ont que l’apparence, au profit des méthodes préventives, qui sont les seules médecines dignes du nom.
L’originalité de ce livre est de mettre l’information à la portée de tous les niveaux socioculturels. Et son intérêt est de permettre au lecteur de déceler une éventuelle intoxication chimique en lui, puis de se soigner, car la médecine d’État n’a que du déni à lui proposer. Quand l’évidence la remet en cause, elle ose encore dire : « ça se peut pas ». Le titre de mon livre est ma réponse à son effronterie.