Après un premier chapitre de généralités sur les maladies infectieuses et les vaccins, Sylvie Simon passe en revue les différentes maladies qui font l’objet de vaccinations obligatoires, recommandées ou en projet.
Il apparaît que dans l’ensemble,
- soit les maladies sont graves, tétanos, méningite, maladies tropicales, et le plus souvent elles sont rares, ou alors les conséquences vaccinales sont telles qu’il y a tout lieu d’hésiter à vacciner (fièvre jaune par exemple),
- soit les maladies sont le plus souvent bénignes, maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, et dans ces cas, en prenant quelques précautions thérapeutiques, on se met à l’abri des complications qui peuvent survenir, ce qui rend la vaccination inutile.
Il reste le cas de certaines maladies surévalués comme la poliomyélite ou l’hépatite B, et pour lesquelles des peurs illégitimes viennent cautionner les politiques vaccinales.
Sylvie Simon constate que la littérature médicale foisonne d’articles qui remettent en cause la dangerosité intrinsèque des maladies. Certaines maladies semblent favoriser les conditions d’adaptation de l’espèce humaine. Ainsi la vaccination pourrait à terme, mettre l’homme en péril en n’ayant pas permis des adaptations que les épidémies auraient favorisées.
Cette même littérature signale que certaines maladies comme la tuberculose et le tétanos n’étant pas immunisantes, le vaccin n’a aucune chance de protéger davantage que la maladie. Ainsi dans de nombreux cas, ces maladies surviennent sur des personnes vaccinées et qui possèdent des taux d’anticorps très largement capables de protéger mais qui ne le font pas. Nous constatons ainsi que les vaccins sont souvent faiblement protecteurs et pour des durées qui sont mal définies.
Par ailleurs, les vaccins sont souvent dangereux, directement par des accidents qui peuvent survenir brutalement ou par des pathologies souvent neurologiques dont le caractère est plus sournois.
Les problèmes qui se posent sont nombreux :
- les vaccins multiples qui comportent jusqu’à 6 éléments ; il devient impossible de se procurer des doses vaccinales uniques
- les vaccinations précoces et en particulier à la naissance sur des systèmes immunitaires totalement immature,
- les vaccins produits par génie génétique, à partir de cellules cancéreuses ou à l’aide de virus-outil
- l’incapacité démontrée des fabricants de vaccins à purifier suffisamment pour éliminer tout risque de contamination par les résidus d’ADN, d’albumine ou de virus ayant servi à la fabrication du vaccin ou présents dans le vaccin
- les éléments toxiques, mercure et aluminium, présents dans les vaccins
- l’absence de dosage spécifique aux enfant qui reçoivent des doses adulte.
De plus les vaccinations multiples sont très suspectées d’être à l’origine des épidémies de diabète, d’allergies, de nombreuses pathologies neuro-musculaires, de cancers, de maladies auto-immunes ou d’autisme. Les premiers cancers ont coïncidé chez certaines populations avec les premières campagnes de vaccination.
Selon un rapport du CDC, en Avril 2000, aux États Unis, l’autisme qui touchait entre 2 et 10 enfants sur 10 000, quelques années avant, affecte 1 enfant sur 150 dans le New Jersey et 1 sur 132 en Californie en 1998. « Une étude comparative des 16ème et 20ème rapports du Congrès américain a montré une augmentation de plus de 300% entre 1992 et 1997, dans 25 états. »
La situation mondiale est dramatique et quand on se sera attelé à un véritable audit sur la question des vaccins, on se rendra compte qu’on est à la veille d’un immense scandale. Rien ne justifie cette frénésie vaccinale sinon la certitude de profits pharamineux.
Les vaccins constituent une triple pollution, immunitaire, chimique et génétique, qui doit subir la même évaluation que celle réclamée pour les produits toxiques, à travers la directive REACH.
Plus que jamais, notre position pour la promotion d’une médecine écologique, ne peut s’accommoder de cette hystérie vaccinale. De même qu’en matière de choix thérapeutique, nous ne souhaitons rien imposer, de même, en matière de vaccination nous réclamons la liberté individuelle.