La médecine occidentale, essentiellement allopathique, est de par son histoire et par la nature de la société qui l’a engendrée, sous dépendance technologique.
Actuellement, chaque fois que l’on parle de progrès en médecine, il s’agit toujours de progrès technologiques. Une instrumentation en chirurgie, un nouveau procédé d’investigation diagnostique, un nouveau médicament, mais en aucun cas, un progrès médical. Il faut entendre par progrès médical, l’idée que le médecin est en mesure (...)
Je voudrais également rajouter que, si les maladies virales n’existent plus c’est aussi parce que l’hygiène est présente alors qu’au moyen âge elle ne l’était pas, qu’il n’y avait pas d’eau courante, que plusieurs personnes dormaient dans le même lit, vivaient avec des rats, des puces etc... qu’il n’y avait aucune condition sanitaire saine et donc cela favorisait la propagation des virus par bouillons de cultures.
Pasteur a reconnu qu’en se lavant les mains on réduisait le risque d’infection. Et aujourd’hui, malgrès la chimie il existe des maladies neusocomiales et j’entends de plus en plus des personnes se plaindre que leur traitement ne leur fait pas effet traitement antibiotiques ...
bien évidemment si je venais à avoir une septicémie j’accepterai la médecine chimique mais uniquement en cas d’extrême urgence.