L’énoncé du contenu d’une ampoule de vaccin donne la mesure du cocktail injecté et du risque encouru. Preuve que malgré toutes les garanties de pureté, de contrôles, etc... avancées par les producteurs, la maîtrise du processus de fabrication est loin d’être atteinte 12 .
Si les gens savaient exactement ce qu’on leur injecte, ils refuseraient. Mais qui le sait ? En plus des microbes et virus censés produire l’immunité, selon la théorie en vigueur, on trouve : aluminium, mercure, phénol, phénoxyéthanol, propriolactone, gélatine, bile de bœuf, sérum fœtal et des débris d’autres virus issus des milieux de culture.
Ainsi le vaccin anti-polio contaminé par le virus SV 40 du singe et ceux de la fièvre jaune, de la rougeole par le virus de la leucose aviaire. Sujet très technique et angoissant que celui traité par M. GEORGET, trop longtemps occulté.