ACCUEIL >>Pour une éducation physique non sportive
 Photos
Sur le Web
Pour une éducation physique non sportive

samedi 3 avril 2010 , par Christian Portal


Pour ceux qui l’ignore encore, je suis professeur d’éducation physique depuis 35 ans et j’observe, dans mon métier, les mêmes principes réductionnistes que ceux qui sont à l’œuvre en médecine et en agriculture. Cela m’a conduit, dans un premier temps, à proposer une approche écologiste afin de promouvoir une autre façon de comprendre la vie et, ainsi, une autre façon de concevoir le soin.

La démarche écologiste ayant un caractère universel, elle peut également s’appliquer à la compréhension d’une démarche éducative. A travers l’exemple de l’éducation physique, je vous présente, assez succinctement, à travers une vision historique, une étude mettant en évidence la subtilité de l’action éducative et les motifs pour lesquels le sport ne peut, en aucun cas, répondre aux enjeux éducatifs.

Au fil du temps, l’éducation physique s’est tournée essentiellement sur l’activité sportive. L’institution, et nombre de professeurs avec elle, a tenté de justifier cette démarche en considérant que les objectifs éducatifs seraient atteints par l’enseignement d’activités sportives, pratiquées avec une « autre » éthique. Ce que serait cette autre démarche n’a jamais été bien formalisé, si ce n’est que l’objectif ne devait jamais être celui habituellement dédié à l’activité sportive, c’est-à-dire celui d’une valorisation de l’ego pour l’athlète, l’équipe, l’entraîneur ou les parents. Il s’est ainsi construit une « légende » qui a permis de croire que le professeur, sur la base de sa simple compétence, pourrait, en faisant pratiquer le sport, rester un éducateur, et ceci, quels que soient les objectifs qu’on lui aurait fixés.

L’éducation physique a toujours été soumise à une mission utilitariste, tantôt hygiéniste, tantôt militaire et plus récemment sportive. Après les années 70, il n’était plus possible de défendre une utilité militaire et, même la démarche sportive prônée par les marxistes au sein de cette profession devenait moins justifiable. Il faut dire que l’idéal d’une merveilleuse jeunesse unie autour des résultats sportifs avait été entaché par les forts soupçons de dopage. De cette époque, était née une démarche encore floue mais résolument tournée vers l’idée d’un épanouissement personnel. On pensait, à l’époque, que cet épanouissement ne pouvait que profiter à la scolarité de l’enfant qui serait plus harmonieuse et finalement au citoyen qui deviendrait plus autonome et responsable.

Dès la fin des années 80, cette période a pris fin par une reprise en main qui est venue redonner une nouvelle légitimité aux pratiques sportives au sein de l’école. Celle-ci a pris la forme de l’accès à la culture. Les pratiques sportives étant une part de la culture commune, il était nécessaire d’apprendre ces techniques aux enfants afin de les faire accéder à un espace culturel commun. Ainsi, non seulement on justifiait la pratique des activités sportives mais on légitimait du même coup l’apprentissage de compétences sportives et l’évaluation de celles-ci. L’évaluation, ce joli mot pour dire qu’on va disposer d’un outil rigoureux pour noter et classer les élèves.

Ce dernier point est particulièrement renforcé par le zèle des inspecteurs qui ont normalisé et formalisé les constats de compétences et les outils de notation. Ceci s’est également accompagné des outils informatiques qui ont renforcé le contrôle des enseignants et de leurs pratiques. Ce contrôle peut paraître légitime mais, en fait, il fleure bon cette culture du contrôle et de la normalisation qui sont les piliers communs de cette nouvelle société, soutenue par le néolibéralisme et qui favorise le nouvel ordre mondial annoncé à toutes les populations.

Si on se penche quelques instants sur cette idée de compétences, elle peut sembler normale dans un contexte d’acquisition technique. Par exemple, la maîtrise de calculs de plus en plus complexes trouve sa légitimité tant d’un point de vue scolaire, que social ou professionnel. Il peut en être de même pour tout domaine scolaire. Néanmoins, même pour les mathématiques, on peut osciller entre une volonté d’acquisitions de techniques et une démarche de formation à « l’esprit » des mathématiques. Cette deuxième option pourrait permettre une meilleure compréhension générale, également, parce que l’élève ne serait pas soumis en permanence à la réalisation des objectifs, à chaque fois sanctionnée par un jugement et une note.

On peut raisonner ainsi pour chacune des matières enseignées et, de la même façon, est-il plus utile d’apprendre l’anglais ou, au contraire, de bien intégrer les mécanismes « universels » d’acquisition des langues étrangères ? On constate, en particulier, pour les linguistes qui maîtrisent plusieurs dizaines de langages qu’il ne s’agit pas, à chaque fois, pour chaque nouvelle langue, d’un nouvel apprentissage.

En éducation physique, la situation est encore plus grotesque car rien ne peut justifier l’institution d’une telle dépense avec le financement de tant de professeurs et de matériels pour apprendre des techniques de basketball, de rugby ou d’escalade. Ce à quoi les professeurs répondent que c’est pour améliorer des qualités utiles aux citoyens comme les capacités physiologiques cardio-pulmonaires, la coordination motrice ou la valeur des relations sociales. Pourtant, si ce sont ces aspects que nous entendons valoriser, alors ce sont eux qu’il faut enseigner et, éventuellement, évaluer. Malheureusement, la réalité est, par essence, infiniment complexe et vouloir la réduire à quelques pratiques et savoir-faire est beaucoup plus pratique mais certainement assez inutile. L’évaluation n’est donc pas le moyen de vérifier ce qu’on a enseigné mais bien de seulement noter et classer les élèves et, par extension, tous les sujets, qu’ils soient des salariés ou des institutions. Pour mettre en œuvre cette évaluation, il faut impérativement construire des pratiques d’enseignement réductrices, faciles à évaluer, même si elles sont sans intérêt, voire même contreproductives, d’un point de vue éducatif.

Si, comme je le pense, il existe des méthodes pour favoriser la concentration, la détente propice aux apprentissages et l’accès à une conscience plus fine permettant, par exemple, d’ajuster ses conduites de façon plus adaptée à l’environnement spatial et humain, celles-ci ne peuvent s’exprimer que dans un contexte apaisé parfaitement incompatible avec le jugement d’autrui. Je ne prendrai qu’un exemple : la relaxation.

Il est inconcevable d’imposer cet « exercice »de façon autoritaire ou comme une performance sanctionnée par une note. On croit pouvoir mettre une note dès lors qu’un exercice, pour sa réussite, fait d’abord appel au travail et à la docilité scolaire. On croit pouvoir valoriser ces deux aspects qui semblent relever de la volonté. On élude ainsi les processus mentaux internes qui favorisent ou constituent les éléments de la réussite de même qu’on évite de considérer les qualités intellectuelles plus ou moins spontanées. Sur ces points particuliers, aucun travail spécifique n’est proposé qui pourrait remettre les élèves à égalité de chances et qui, surtout, offrirait une véritable alternative au seul travail aveugle. Cet esprit besogneux reste le point essentiel, non de la réussite scolaire mais de la gratification scolaire. Ainsi lors d’exercices de relaxation, l’enseignant est peu en mesure de savoir ce qui se passe chez l’élève et même s’il le sait, il ne peut pas le condamner si celui-ci n’est pas encore en mesure de calmer ses angoisses ou d’apaiser sa nervosité.

Il est un autre domaine qui peut rendre compte de cette difficulté à fixer des compétences comme objectifs et ensuite à vouloir les évaluer. C’est celui des techniques subtiles. Cela concerne les métiers d’acteur ou de musicien par exemple. Pour l’un comme pour l’autre, il faut maîtriser des techniques mais, au-delà, il faut atteindre des états que certains qualifient de conscience modifiée, dans lesquels on oublie totalement ce qu’on a appris par un abandon des processus mentaux, sans pour autant perdre une conscience au monde et à soi, au contraire parfaitement aiguisée. Cela donne ces états où le sujet est comme en extase. Bien sûr, cela constitue l’aboutissement de tout artiste. Au moment où il l’atteint, peut-il dire qu’enfin il sait ? Non, et d’autant moins que cet état ne se reproduira plus avant longtemps ou, en tout cas, pas sous cette forme. Ce ne sont que des moments de grâce qui viennent ponctuer un long apprentissage qui différencie le technicien de l’artiste. Sans aller jusqu’à envisager une société d’artistes et une éducation tournée exclusivement vers ce type de projet, il me semble qu’on ne doit pas se priver de l’accès aux subtilités sensitives et perceptives, véritables portes d’accès vers une conscience élargie.

Une telle vision de la conscience n’est pas un luxe réservé à quelques initiés, c’est l’espoir d’une véritable prise en charge de sa santé et de ses conduites motrices et sociales. Cela ne génère pas forcément des sujets facilement manipulables comme les pouvoirs, quels qu’ils soient, le recherchent mais c’est, pour ma part, l’idéal que je me suis fixé. Ce serait l’honneur de cette profession que d’y aspirer. Dans la mesure où tout pouvoir porte au despotisme, il appartient aux acteurs de l’action de l’État de lutter contre cette exploitation de l’obéissance du fonctionnaire afin de garantir les libertés.

Boutons pour partager l'information

Répondre à cet article

3 Messages

  • Concernant l’apprentissage des langues

    7 avril 2010 15:54, par Gijom

    Une petite réaction, non pas sur l’intégralité de cet article, auquel j’adhère globalement, mais juste par rapport au passage précis concernant l’apprentissage des langues, auquel j’adhère tout particulèrement !

    Ne s’agit-il pas de ce qu’on appelle la propédeutique : qualité de ce qui facilite l’apprentissage ?

    Concernant l’apprentissage des langues, on constate aujourd’hui une prédominance de l’anglais qui, moi, m’inquiète beaucoup. Cette langue d’apparence facile, mais qui ne l’est pas du tout sous bien des aspects, est considérée comme incontournable pour la communication internationale. Or, non seulement, elle n’a pas les qualités requises pour jouer ce rôle, mais elle génère beaucoup d’inéquité et de discrimination dans les débats internationaux, sur le marché de l’emploi, etc. Ne pas maîtriser l’anglais aujourd’hui est un motif d’exclusion et il est convenu que c’est un signe de fermeture volontaire ou involontaire de la part de celui ou celle qui ne développe pas cette compétence. Pourtant, nous sommes tous inégaux face à cet apprentissage, notamment du fait du contexte linguistique dans lequel on prononce ses premiers mots. Plus la course contient d’obstacles, plus il y a de distance entre les coureurs à l’arrivée. Et effectivement, il y a actuellement un acharnement à l’apprentissage de l’anglais, invitant les personnes non anglophones natives à concentrer tous leurs efforts là-dessus, écartant la vérité la plus élémentaire selon laquelle, plutôt que de s’acharner sur une langue, il vaut mieux développer son "muscle de l’apprentissage des langues" en en étudiant plusieurs.

    Un merveilleux outil existe pour cela, que l’Éducation nationale rejette obstinément malgré les nombreuses études montrant sa pertinence. Il s’agit de l’espéranto. Cette langue est conçue de manière à respecter le processus naturel de formation du langage. Elle sollicite un usage très équilibré des cerveaux droits et gauches. Elle évacue les complications du genre "exceptions", "tableau de conjugaison", "déclinaisons", etc. Elle peut se maîtriser en un an avec un très grand plaisir dû à sa facilité et son adaptation à notre pensée. L’espéranto offre ainsi la possibilité de séjours linguistiques enfin réellement ouverts à l’international et non fermés sur l’anglophonie, donc la possibilité de choisir les langues que l’on souhaitera approfondir par la suite.

    L’espéranto est-il une utopie ? Oui, au sens noble du terme : c’est un projet qui soulagera considérablement l’humanité des nombreux efforts et investissements actuellement fournis pour traiter le problème du multilinguisme avec des coûts exorbitants, des résultats médiocres et des "échecs scolaires" traumatisants.

    Je vous invite à lire "Le défi des Langues, du gâchis au bon sens", de Claude Piron, éd. L’Harmattan.

    repondre message

  • Pour une éducation physique non sportive

    10 avril 2010 18:45, par Ambi

    Bravo de parler de l’activité physique non sportive dans le cadre de la médecine écologique.
    Ayant fait la formation de PDG (prof de gym) en Allemagne, j’ajoute un volet "santé" à toute activité physique - et surtout à celle qui n’est pas sportive mais intégrée dans la vie de tous les jours. Notre prof de Médecine sportive nous a donné deux exemples : dans l’Allemagne coupée en deux par le rideau de fer à la fin des années ’60, il y avait trois fois plus de maladies cardio-vasculaires en Allemagne Fédérale qu’en Allemagne de l’Est. Le même rapport se trouve entre les conducteurs et les contrôleurs des bus londoniens à deux étages. Dans les deux cas, ce n’est pas le sport qui différencie les deux groupe, mais le niveau d’activité physique quotidienne.
    Il y a un minimum vital concernant la nourriture - qui est en même temps optimal pour la vitalité et l’espérance de vie, et en général, nous vivons largement au-dessus de ce minimum vital ; il y a également un minimum vital d’activité physique quotidienne, et en général, nous vivons largement en-dessous de ce minimum. Nous vivons donc en quelque sorte en-dessous de seuil de la pauvreté.
    Faire passer ce message aux jeunes - tant qu’il cherchent encore leurs habitudes vitales - est un objectif primordial pour tout pédagogue.
    Les points que tu évoques visent largement ce but.
    Sur cette page, je donne "9 raisons pour bouger plus" :
    http://www.jeune-et-randonnee.com/bougerplus.htm
    Gisbert Bölling
    Nous avons passé un moment ensembles au sein de la commission santé ...

    repondre message

  • Pour une éducation physique non sportive

    8 juin 2010 13:47, par Greg

    Depuis sa parution, ce nouvel opus de Christian Portal me fait l’effet d’un parasite entré par inadvertance dans mon nez : cela me fait éternuer ! Je vais donc prendre le temps de me moucher…

    Pour commencer, je trouve le postulat simpliste et caricatural.

    Au fil du temps, l’éducation physique s’est tournée essentiellement sur l’activité sportive. L’institution, et nombre de professeurs avec elle, a tenté de justifier cette démarche en considérant que les objectifs éducatifs seraient atteints par l’enseignement d’activités sportives, pratiquées avec une « autre » éthique. Ce que serait cette autre démarche n’a jamais été bien formalisé, si ce n’est que l’objectif ne devait jamais être celui habituellement dédié à l’activité sportive, c’est-à-dire celui d’une valorisation de l’ego pour l’athlète, l’équipe, l’entraîneur ou les parents.

    Ainsi le sport n’est qu’un duel physique qui ne laisse de place qu’au vainqueur : voilà une vision bien réductrice. Dans cette optique, le prof d’EPS chronomètre, classe, hiérarchise, récompense le vainqueur et stigmatise le perdant. Heureusement, le sport dépasse largement le cadre minimaliste que veut bien lui prêter notre cher Christian.

    Le sport peut être appréhendé sous un angle autonome, indépendant de toute récupération pédagogique. Il est intrinsèquement porteur d’un « éthos », une manière d’être et de penser consubstantielle au sport, et d’un « savoir », un ensemble de gestes à la fois transmissibles et contextualisés. Faire du sport, c’est apprendre ces gestes pour évoluer dans un système de règles communes pré-établies. Enseigner le sport, c’est donc aider un sportif à évoluer dans ce système en s’y adaptant. Comme dans une société au sens large. (Crozier et Friedberg, 1977).

    1) Le sport comme un répertoire de gestes techniques vecteur d’apprentissage moteur

    Selon une conception écologique de l’apprentissage l’action est indissociable du contexte dans lequel elle émerge, on parle du couplage perception-action (Berstein, 1967). Apprendre c’est donc rechercher une réponse adéquate au problème posé par l’environnement. Dans cette optique, la pratique sportive, en contrariant l’environnement, oblige le pratiquant à s’adapter. Le geste technique prend alors du sens puisqu’il répond à une situation précise. Par exemple, un amorti au badminton est une réponse adaptée lorsque l’adversaire est au fond du terrain, puisque l’objectif est de faire toucher le volant sur le sol pour marquer le point. Il ne s’agit pas d’apprendre le geste pour le geste, mais bien de l’apprendre pour sa pertinence dans la situation donnée.

    Voilà pourquoi le financement de tant de professeurs et de matériels pour apprendre des techniques de basket-ball, de rugby ou d’escalade se justifie, il apprend à ajuster ses conduites de façon plus adaptée à l’environnement spatial et humain . Le sport, par sa nature propre, est donc vecteur d’apprentissage moteur.

    2) Le sport comme système de règles vecteur d’apprentissage social

    Au delà du champ de possibles qu’il offre en terme d’apprentissage moteur, le sport est un vecteur pertinent d’apprentissage social, puisqu’il régule les relations humaines grâce aux règles communes du jeu. Accepter un cadre social, y trouver sa place, lui donner du sens…voilà un challenge à relever quand on enseigne le sport. Plutôt que d’aseptiser le milieu, en proposant un contexte apaisé de toute tension sociale, le sport plonge chaque acteur dans un système complexe, qui nécessite une adaptation. Pour s’inscrire dans le jeu sportif, l’acteur doit transformer sa conduite. Cette transformation ne va pas de soi évidemment. Chaque élève tente de trouver sa place sociale, son rôle, tente de comprendre que l’absence de règle empêche le jeu, et comprend que réguler est incontournable pour vivre en société. En cela, le sport est un levier pertinent. Par exemple, au basket, si la règle du non contact est absente, le jeu se transforme vite en empoignade générale, et le jeu disparaît. En euphémisant la violence (Elias et Duning, 94), le sport permet l’apprentissage. Les règles communes du sport régulent les relations, répartissent les rôles, gèrent les marges de liberté de chacun au sein du système sportif.

    Pour résumer et conclure, je pense que le sport est pertinent pour éduquer physiquement puisqu’il place l’acteur dans un environnement contraint et librement choisit, dans lequel il tente de se bonifier en puisant dans un répertoire de gestes et d’attitudes transmises de génération en génération. Apprendre c’est s’adapter et le sport permet d’y parvenir.

    repondre message


Mots-clés de l'article
Du même auteur

Christian Portal
 Stratégies pour les médecines non conventionnelles
 Proposition d’article pour l’Ecologiste
 La médecine chimique n’a pas d’avenir
 Analyse critique du programme santé des Verts
 Après les journées d’été des Verts
 Fiches thématiques
 Quelles évaluations nous propose t’on ?
 Des enfants cobayes à New York
 Concept d’écomédecines
 Etat des recherches en MNC
 Médicaments ; effets indésirables
 Les mnc, alternatives ou complémentaires ?
 Les Verts ne soutiennent pas une démarche écologique en matière de santé
 Les impasses d’une médecine chimique
 Il serait surprenant que les OGM ne soit pas toxiques !
 Petite philosophie pour le loup et l’agneau
 Dossier SIDA
 Quand les homéopathes se rangent du côté du pouvoir
 ACECOMED, un collectif au service des médecines écologiques
 MÉDECINES NON CONVENTIONNELLES & MONDE POLITIQUE
 Le conseil départemental de l’ordre des médecins adopte une position novatrice et courageuse.
 Refondation de l’écologie politique
 Amaroli animal ?
 Autisme régressif
 Les médicaments dans les eaux : enfin une évaluation des risques
 Rejets de polluants émergents : les incertitudes
 Du Prozac dans l’environnement
 Toxicité du paracétamol dans les eaux usées
 Dites non aux OGM
 Dialogues en humanité
 Soutiens
 ACECOMED, qui sommes nous ?
 Manifeste pour une médecine écologique
 Le colloque du 28 octobre 2006
 Le comité directeur
 Sites amis santé
 Le prix Rodgers pour récompenser les médecins et chercheurs en médecin
 Associations membres du collectif
 Quiproquos sur ordonnance
 "La conquête de la santé" publié aux éditions Dangles du Dr Pierre Oudinot
 Ce qu’on nous cache sur les vaccins
 Médicaments dans l’eau : différents acteurs mobilisés
 La santé n’est pas une marchandise !
 Une surconsommation d’opioïdes sur ordonnance !
 La médecine sénégalaise
 Les risques du vaccin anti-grippe
 Intoxications au mercure, attention aux amalgames !
 Dispensaire Hahnemann
 Des médicaments dans l’eau du robinet
 Les pesticides, l’étau se resserre !
 Accidents médicamenteux : "Un arrêté qui fait mal"
 Rapport de l’OMS sur les médecines traditionnelles
 ACECOMED interrogé pour la phase finale du Grenelle
 ACECOMED et le Grenelle de l’environnement
 Une première émission sur la pollution par les médicaments sur Direct8
 Croyance et homéopathie
 Le Vioxx© ou l’exception française !
 Vaccin et désinformation !
 Cancer : espoirs et désinformation
 Rejoignez la résistance écologique !
 Interview de Claude Bourguignon
 Le Codex Alimentarius, quelles menaces ?
 Le psychotrope nouveau est arrivé !
 Censure scientifique
 Conférence de la fondation Denis Guichard
 Contact
 L’écologiste n°27 est paru
 Ne donnez pas au Téléthon !
 Mourir pour quelques boutons ?
 Menaces sur la Ferme de Sainte Marthe
 Le courage du comité d’éthique du Conseil Départemental de l’Ordre de la Côte d’Or
 Une heure pour la planète
 Attention, la colère gronde !
 La Terre Sinon Rien
 Programme des conférences de Christian Portal
 Reportage cosmétique bio : à la fortune du pot… de terre
 "Pour une médecine écologique"
 Sylvie Simon
 Patrick Lemoine
 Hervé Staub
 La santé à deux vitesses
 Sites amis bio et bien-être
 Programme de La Terre Sinon Rien
 Des enfants cobayes à New York
 Revue de presse
 CHIMIOTHÉRAPIE : Des taux de réussite autour de... 2,2 % !
 S’informer sur la vaccination contre la grippe A/H1N1
 Interview médecine écologique
 Yvette Parès
 La culpabilité et la peur, les deux outils de la contrainte
 Imposture médiatique
 Pourquoi parler de la lèpre ?
 Interview de Christian Portal au salon ZEN
 Vous l’avez aimé, partagez le !
 Ni Téléthon, ni Sidaction
 Articles d’Yvette Parès
 Grippe, florilège d’informations
 Evidence based medecine ou bon-sens ?
 Solutions locales pour un désordre global
 Marie-Joséphine Grojean
 Un nouveau réseau pour le collectif ACECOMED
 Pourquoi je ne soutiendrai plus le MDRGF
 Rejoignez le réseau ACECOMED
 Claire Séverac
 Décès d’Yvette Parès
 Initiative citoyenne
 Le Médiator®, une affaire exemplaire !
 Médecine et agriculture, une même dérive
 Comment dépasser l’analyse primaire sur le Mediator®
 Yvette Parès, une vie exemplaire !
 Affaire Gardénal, un triple déni !
 Pourquoi l’idée écologique avance-t-elle si lentement ?
 Vers un chaos médical ?
  3 minutes pour la santé
 Le journal Le Monde s’intéresse aux alternatives médicales.
 Fêtes des simples : 1 et 2 octobre
 Menace sur nos neurones
 Se soigner sans s’empoisonner, éditions Elie et Mado
 A quand les indignés de l’art médical ?
 Comment se procurer "Se soigner sans s’empoisonner"
 "Abus", un livre de Sylvie Renault
 Vers un mouvement mutualiste des valeurs écologistes
 La médecine par le petit bout de la lorgnette
 Disparition du Dr André Gernez
 Disparition de Sylvie Simon
 COMMUNIQUE DE PRESSE de la Confédération...
 Nouvelles stratégies de l’OMS pour les médecines traditionnelles 2014-2023
 Prochain évènements Automne 2016
 Images de cristallisations sensibles maison
 Le dernier livre de Claire Séverac
 Vaccins, des preuves ou des croyances !
 L’occident malade de sa médecine
 La médecine intégrative : un fourre-tout qui déprécie les alternatives médicales.
 Entretien pour TV78
 Erreurs médicales : origine conjoncturelle ou structurelle ?
 Nous ne sommes pas en guerre !
 Coronavirus, ou comment s’en débarrasser ?
 Accueil
 Présentation
 Cuisine et diététique chinoises
 Entretien avec Jerry Alan Johnson (Spécialiste Qigong)
 1 - Qigong de l’arbre
 2 - Qigong "Hommage aux étoiles"
 3 - Qigong des cent merveilles
 4 - Qigong du dragon rouge
 5 - Qigong du cavalier
 6 - Qigong de la paix intérieure
 7 - Massage des trois trésors
 8 - Qigong du Guerrier
 Les conseils du Pr. LEUNG KOK YUEN
 Les méthodes pour nourrir la vie
 Enseignement d’un sage indien
 Médecine, humanisme et tradition
 Virus et bactéries en partie responsables de l’obésité ?
 Polémique sur l’ulcère à l’estomac
 Position maternelle de l’accouchement
 Grippe aviaire
 Grippe et Tamiflu°
 MTC et chimiothérapie
 Codex alimentarius
 A propos du classement sur les maladies nosocomiales
 Les médicaments en 2005 : « Trop peu de progrès »
 Vaccins et autisme
 Contamination des vaccins
 Les dommages liés à la vaccination
 Informations contradictoires (grippe aviaire et grippe humaine)
 Grippe espagnole
 Proposition de Paul Lannoye
 Conflits d’intérêts
 Il n’y a pas une médecine, mais des médecines
 Accidents liés aux plantes chinoises
 Ecologie et approche causale des systèmes
 Syndrome de l’huile toxique
 1999-L’esprit des plantes
 1999-Dossier Monsanto (L’écologiste)
 2001-Faut-il tuer tous les microbes ?
 Dossier vaccinations
 Dossier santé publique
 Dossier cancer
 Dossier traitements
 Dossier amalgames dentaires
 Dossier Beljanski
 Dossier Médecines non conventionnelles
 Dossier justice
 Dossier médicaments
 Dossier Sida
 Dossier environnement
 Comment se procurer mes derniers livres
 Guerre
 Après
 Etranger
 Imbéciles ou voyous ?
 Mentions légales
 Evasion
 Destinée
 Photos
 Les années folles
 Métamorphose
 Timide
 Le tigre et l’araignée
 Hiver
 Prendre le temps
 Faire une chanson
 Ninon est indécise
 Printemps
 Imagine
 Laissez-nous vivre
 Résister
 Eté
 Automne
 Si on pouvait recommencer
 Dieu, s’il existe
 Evasion (Chris)
 Je voudrais bien
 Tempête
 Alarme citoyen
 Habitudes
 Bulles de mémoire
 Le temps chante aussi
 Ecrit après le visite d’un bagne
 Rêves
 Les chansons de notre vie
 Résistances
 Le tigre et l’araignée 2
 Vannerie
 Soigner les douleurs inflammatoires
 Soirée du 8 mars 2024
 Green
 Pardon
 L’an mil

SPIP

Pour une médecine écologique

  Pluralisme thérapeutique  

retour au sommaire